samedi 18 août 2012

Sénégal : Un trafic d'êtres humains mis à nu


Sénégal : Un trafic d'êtres humains mis à nu
DAKARACTU.COM  La Division des investigations criminelles (Dic) a procédé à l'interpellation d'un gang de trafiquants d'êtres humains. Pendant deux ans, les deux patrons d'une société de négoce ont promis monts et merveilles à une quarantaine de Sénégalaises. Ces dernières ont cru obtenir de juteux contrats de travail en Lybie et dans la sous-région. En fait, il s'agissait de revendre ces filles et, ainsi, elles devenaient des esclaves. A en croire le quotidien Libération qui rapporte l'information, c'est suite à l'arrestation d'un nommé Mamadou Sarr, présenté comme étant le "courtier", que les enquêteurs de la Dic ont pu mettre la main sur les deux cerveaux du gang

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Massacre de grévistes en Afrique du Sud

vendredi 10 août 2012

Destination Dakar senegal, le monument de la renaissance Africaine

Visite a de L'ile De Goree, Dakar, Senegal

Stress : les hommes préfèrent les rondes


En situation de stress, les hommes auraient tendance à préférer les femmes bien en chair, révèle une étude britannique.


Stress : les hommes préfèrent les rondes
Pour séduire un homme, oubliez votre obsession de l’IMC (indice de poids) et jouez de vos rondeurs. Enfin, cette stratégie serait surtout payante auprès des hommes stressés, d’après des chercheurs de Londres et de Newcastle. Les résultats de leur enquête sont parus dans le journal Plos One.Pour les besoins de l’expérience, les chercheurs ont confronté un panel d’hommes volontaires à des situations stressantes (interview, prise de parole en public) afin d’élever leur niveau de stress. Leurs préférences en termes d’IMC ont été comparées à un groupe d’hommes non stressés. Les résultats ont montré que le changement des "conditions environnementales" entraîne une modification des standards de poids et de silhouette. Alors qu’en temps normal des hommes n’auraient pas été attirés par les femmes pulpeuses, sous l’effet du stress ils ont tendance à trouver les femmes attirantes. Le stress serait un facteur parmi d’autres qui peut changer la perception que l’on a des autres et de son environnement. Par exemple, dans un environnement où la nourriture est plus rare, notre intérêt se porte plus facilement sur les corps gros, davantage que lorsque la nourriture est abondante et l’atmosphère détendue, explique Martin Tovee, chercheur à la Newcastle University, interrogé par la BBC. "La société nous pousse à croire qu’il existe un idéal, mais cette préférence est flexible. Changer les médias, changer son style de vie font partie des choses qui peuvent influencer votre façon de considérer votre idéal féminin". Une étude qui nous donne une bonne raison de s’accepter telle que l’on est.

Le couple de stars le plus riche de l'année


Le couple de stars le plus riche de l'année
Gisele Bündchen et Tom Brady ont perdu leur titre. 
Le magazine Forbes vient de publier le classement des couples de stars les plus riches. Alors que Gisele Bündchen et Tom Brady culminaient en tête de ce tableau l'année dernière, c'est aujourd'hui le couple formé par Beyoncé et Jay-Z qui prend la première place. 

Les deux stars ont amassé 78 millions de dollars à elles deux, relate Forbes. 

Beyoncé et Jay-Z ont tous deux sorti des albums en 2011, et ont de ce fait engrangé beaucoup d'argent. Toujours selon Forbes, c'est Beyoncé qui a ramené le plus d'argent à la maison cette année. 

Gisele et Tom retombent à la seconde position du classement, avec 72 millions de dollars. Parmi les plus riches, on retrouve aussi David et Victoria Beckham, Brad Pitt et Angelina Jolie, ou encore Will Smith et Jada Pinkett.
Autres articles

Non-observation du jeûn chez des «Baye Fall»: L'excuse du «ndogou»


Pendant le mois de Ramadan, des Sénégalais musulmans rivalisent d'ardeurs dans l'accomplissement de bonne œuvres et actions. C'est le cas de ces trois jeunes trouvés en plein préparatif du «café Touba» sur les Allées Cheikh Ahmadou Bamba des Hlm. Ce café est destiné aux jeuneurs que l'heure de rupture trouve en pleine circulation. 


Non-observation du jeûn chez des «Baye Fall»: L'excuse du «ndogou»
Ils se nomment «baye-Fall». Ils se distinguent par des «rastas» et des boubous multicolores dénommés «diakhass» avec des chapelets et amulettes à l’effigie de leur guide religieux enfilés autour du coup. Ils, ce sont des talibés mourides disciples de Cheikh Ibrahima Fall, compagnon fidèle de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Serigne Touba Khadimou Rassoul fondateur du mouridisme. 

Ces musulmans se singularisent en cette période de Ramadan par leur sens du partage. Même si nombre d’entre eux ne jeûnent pas en ce mois béni, ils donnent à manger aux pauvres et aux passants tous les jours. Et Ils se font le plus distinguer dans leurs actions de bienfaisance aux heures de rupture du jeûne. Ils distribuent gratuitement des repas ou du «café Touba» accompagné de pains aux fidèles pour la rupture du jeûne tous les soirs. 

De Touba à Dakar en passant par d’autres localités du pays, grâce à leur détermination à «nourrir le pauvre, en compensation de la non observation du jeûne», ils ne passent pas inaperçus. Ils installent leurs quartiers généraux dans tous les quartiers généralement au niveau des coins de rues, à côté des carrefours ou croisement, des marchés, etc, le temps du Ramadan pour toucher le maximum de personnes. 

C’est le cas de ces trois jeunes trouvés en plein préparatif du «café Touba» sur les Allées Cheikh Ahmadou Bamba des Hlm. Pour l’un de ces baye Fall, taille moyenne, teint clair, «pendant ce mois, il faut s’entraider. Et notre groupe a pensé à servir du «café Touba» et des dattes aux personnes qui sont dans les transports en commun au moment de la rupture». Notre interlocuteur d’ajouter : «si nous avions plus à offrir nous allions le faire, mais ce sont les moyens qui font défaut». 

S’agissant des moyens, le baye Fall lui aussi de taille moyenne, mais de teint noir renseigne que ce sont les passants eux même qui leur donnent de quoi acheter le nécessaire. Il s’agit du café, du sucre et du charbon et des tasses, étant entendu que le matériel est déjà sur place. Ce qui permet à ces talibés baye Fall de distribuer café Touba et dattes aux passagers coincés dans la circulation à l’heure de la rupture. 

Seulement, ces jeunes doivent faire face à des difficultés qui ont pour nom rejet et mépris. Du fait de leur accoutrement, de leurs coiffures (rasta), certains refusent leurs largesses. «Parfois en distribuant le café et les dattes, il y a des personnes qui se méfient de nous, qui ne veulent même pas qu’on leur touche », regrette le deuxième baye Fall. Et le troisième, cigarette à la main de renchérir : «les problèmes, c’est avec les voyageurs qui sont dans les cars rapides. Ils pensent que nous ne sommes pas propres. Certes on a des rasta et des diakhas, mais cela ne veut pas dire qu’on est sale». 

Et comme pour confirmer les appréhensions du baye Fall, Mamadou Bodian et Nafi Mbengue, tous des passagers dans un car rapide estiment que ces distributeurs de café Touba devraient s’habiller proprement car la nourriture ne rime pas avec saleté. Quant au chauffeur de ce même car, il dira : «en tout cas ce qu’ils font c’est une belle action, même si les autres pensent qu’ils sont sales ils sont payés par Dieu»

vendredi 3 août 2012

juillet 2012 20:13 Les islamistes ont tué dimanche par lapidation un couple non marié à Aguelhok, dans le nord du Mali, le premier cas à ce jour connu dans cette région depuis son occupation totale par les groupes armés islamistes il y quatre mois, selon deux élus de la région. «J’étais présent sur les lieux. Les islamistes ont amené au centre d’Aguelhok le couple non marié», l’homme et la femme ont été «mis dans deux trous et les islamistes les ont lapidés jusqu’à ce que mort s’en suive», a déclaré un élu dont les propos ont été confirmés par un autre. Tous deux ont souhaité garder l’anonymat. Le premier élu a affirmé que «dès les premiers coups, la femme s’est évanouie», alors que l’homme «a crié une fois» avant de se taire. La scène s’est déroulée devant une foule d’environ 200 personnes, selon lui. Le second élu a précisé «que l’homme et la femme ont deux enfants, dont le dernier a six mois» et qu’ils vivaient en dehors d’Aguelhok «dans la brousse». «Ils ont été ramenés en ville par les islamistes qui leur ont jeté des pierres jusqu’à la mort», a-t-il dit, ajoutant : «Des gens sont sortis pour voir ça, il y a eu des témoins.» Sanda Abou Mohamed, un des porte-parole du groupe salafiste, a répondu dimanche à l’Associated Press que le couple a été exécuté conformément à la loi de la charia. La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar ed-Dine (défenseurs de l’islam), allié d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) dont plusieurs membres se trouvent aussi dans la région.


mali
Les islamistes ont tué dimanche par lapidation un couple non marié à Aguelhok, dans le nord du Mali, le premier cas à ce jour connu dans cette région depuis son occupation totale par les groupes armés islamistes il y quatre mois, selon deux élus de la région.
«J’étais présent sur les lieux. Les islamistes ont amené au centre d’Aguelhok le couple non marié», l’homme et la femme ont été «mis dans deux trous et les islamistes les ont lapidés jusqu’à ce que mort s’en suive», a déclaré un élu dont les propos ont été confirmés par un autre. Tous deux ont souhaité garder l’anonymat.
Le premier élu a affirmé que «dès les premiers coups, la femme s’est évanouie», alors que l’homme «a crié une fois» avant de se taire. La scène s’est déroulée devant une foule d’environ 200 personnes, selon lui.
Le second élu a précisé «que l’homme et la femme ont deux enfants, dont le dernier a six mois» et qu’ils vivaient en dehors d’Aguelhok «dans la brousse».
«Ils ont été ramenés en ville par les islamistes qui leur ont jeté des pierres jusqu’à la mort», a-t-il dit, ajoutant : «Des gens sont sortis pour voir ça, il y a eu des témoins.»
Sanda Abou Mohamed, un des porte-parole du groupe salafiste, a répondu dimanche à l’Associated Press que le couple a été exécuté conformément à la loi de la charia.
La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar ed-Dine (défenseurs de l’islam), allié d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) dont plusieurs membres se trouvent aussi dans la région.

Il coud un cadenas sur le sexe de son épouse


cadenas-chastete
Un homme a été arrêté après avoir obligé son épouse à porter une ceinture de chasteté, qu’il avait lui-même cousue sur le sexe de sa femme, et ce pendant plus de cinq ans. Le cauchemar de cette pauvre dame, qui réside à Sanyogitaganj dans la banlieue d’Indore en Inde, a commencé il y a cinq ans de cela, rapporte le Daily Bhaskar. Ce jour-là, Sohanlal Chouhan, son mari âgé de 45 ans, avait complètement pété les plombs après lui avoir fait une crise de jalousie. De peur que sa femme ne le trompe, il avait décidé d’utiliser les grands moyens.
“Il m’a obligé à boire et lorsque j’étais inconsciente, il m’a cousu un cadenas sur le sexe”, explique, Radha, la victime. “J’ai souffert pendant un an après qu’il ait cousu le cadenas”, confie-t-elle en ajoutant que son mari avait pris l’habitude d’emporter les clés du cadenas avec lui tous les jours au travail. En outre, Sohanlal, devenu incontrôlable, a commencé à enfermer son épouse dans une pièce de leur maison. Il ne la libérait que très peu d’heures par jour, témoignent leurs cinq enfants qui déplorent d’avoir été privés de leur maman pendant cinq longues années.
C’est ce lundi 16 juillet que le cauchemar de Radha a pris fin. Après avoir entendu son mari faire des avances sexuelles à leur fillette de 12 ans, Radha, désespérée, a décidé de mettre fin à ses jours en ingurgitant de la mort aux rats. Heureusement, elle a été emmenée à temps à l’hôpital et elle a pu être sauvée. C’est en lui faisant un lavage d’estomac que le personnel hospitalier a découvert l’horreur. Les responsables de l’hôpital ont immédiatement prévenu la police et Sohanlal Chouhan a été arrêté pour maltraitance et séquestration. Interrogée, Radha a tout avoué aux policiers. Elle a décidé de porter plainte et a été jusqu’à supplier les agents de ne pas libérer son mari. Celui-ci a été examiné par un psy qui a décélé une tendance paranoïaque

Visites de Laurent Fabius et de Hillary Clinton à Dakar Professeurs et étudiants réagissent


Visites de Laurent Fabius et de Hillary Clinton à Dakar Professeurs et étudiants réagissent
Vingt-quatre heures après la visite de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton et une semaine après celle de Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, des enseignants et étudiants apprécient diversement ces deux passages. 
Les deux hôtes ont tous rencontré le président sénégalais Macky Sall. Mme Clinton a prononcé un discours à l’Université Cheikh Anta Diop, qui contraste pour certains avec celui de Nicolas Sarkozy au même endroit en juillet 2007, tandis que Fabius a salué ‘’l’exemple’’ du mouvement ‘’Y’en a marre’’. Pour Ousmane Khouma, enseignant-chercheur en Droit public et Science politique à l’Université Cheikh Anta Diop, c’est avant tout ‘’la maturité démocratique’’ du peuple sénégalais qui a été saluée par Hilary Clinton. ‘’Elle a voulu montrer qu’elle accompagnerait la population sénégalaise sur le chemin de la bonne gouvernance’’, explique-t-il, estimant que ça ne peut être que bénéfique pour le Sénégal. ‘’Le pays doit diversifier ses partenariats, surtout quand la première puissance mondiale en fait partie’’. Selon Khouma, les Etats-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Sénégal pour sécuriser la zone qui entoure ce pays : ‘’Le Sénégal ne peut être un îlot de stabilité dans un océan de désordre. Il a du poids au sein de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) et l’Union africaine et les Américains en sont conscients’’.Quoi qu’il en soit, souligne l’enseignant, les visites françaises et américaines sont l’expression d’une stratégie diplomatique. ‘’Chacun cherche à protéger son pré carré’’. Louis Mendy, professeur de littérature américaine, a le sentiment que la France et les Etats-Unis veulent être les premiers à recevoir ‘’les bonnes grâces du Sénégal’’. Et, comme Ousmane Khouma, il pense que les deux nations veulent utiliser le Sénégal pour des besoins géopolitiques : ‘’C’est important de mettre des garde-fous, prendre les devants, on ne sait jamais ce qui peut arriver’’. Côté étudiant, c’est plus ou moins le même son de cloche. Pour un doctorant en droit public, sous-couvert d’anonymat, les visites de Laurent Fabius et d’Hillary Clinton à Dakar permettent de fixer ‘’le cadre au sein duquel ils vont travailler’’. Selon lui, le Sénégal est ‘’fidèle à son histoire’’ et tient à garder de bonnes relations avec la France. Et c’est réciproque : ‘’La France fera tout pour ne pas perdre son partenaire’’. Quant aux Etats-Unis, le Sénégal ‘’ne peut se permettre de refuser une demande de leur part étant donné leur position sur la scène internationale’’. L’étudiant pense également que les deux pays sont en concurrence, chacun étant ‘’à la recherche du leadership’’. 
Aps 

Ce jeune homme aurait une médaille de diamant au JO

Qui est ce juif américain impliqué dans le transfert de plusieurs milliards détournés au Sénégal ?


Qui est ce juif américain impliqué dans le transfert de plusieurs milliards détournés au Sénégal ?
  Un homme d’affaires américain, juif orthodoxe et ami de Rahm Emmanuel, sherpa de Barack Obama devenu maire de Chicago, a été au cœur de bien des transactions entre des pontes du régime Wade et le milieu d’affaires américain. Il a tenté d’aplanir à un moment donné les rapports difficiles entre Abdoulaye Wade et la Maison Blanche, après s’être vu confier l’acquisition de la Maison du Sénégal à New-York, d’une valeur de 18 milliards. Sous ce couvert, il a, selon les services secrets américains, transféré beaucoup d’argent aux Etats-Unis appartenant à des officiels sénégalais. Ayant les agents des services secrets aux basques, il aurait décidé de transiger et de balancer des noms de pontes de l’ancien régime libéral, en contrepartie d’une absolution par la justice américaine. 

mercredi 1 août 2012

Thione NIANG AT President Obama's 2012 Campaign Kick-off Reception in Wa...

Thione Niang - Qu'est-ce qu'être Français? - Colloque Institut Montaigne...

Coumba Gawlo Seck, Fa fa fa fa fa fa

Coumba Gawlo Seck la diva de la musique sénégalaise - Bine Bine

Viviane Ndour - Waaw (Clip officiel) chouchou de la musique sénégalaise

Youssou NDOUR 7 second

yekini vs balla gaye2 : meilleur combat de lutte sénégalaise 2012

Secret de Femmes sénégalaises

La secrétaire d’Etat américaine à Dakar Le discours d’Hillary pour effacer celui de Sarkozy


La secrétaire d’Etat américaine à Dakar   Le discours d’Hillary pour effacer celui de Sarkozy
Un véritable marquage à la culotte ou un pur hasard du calendrier. En tout cas, le Sénégal est choyé ces derniers temps. Un peu moins de 72 heures après la visite de Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, Hillary Clinton, la secrétaire d’Etat des Etats Unis est arrivée hier à Dakar. A l’occasion de cette visite, Hillary Clinton prononcera un discours dans un lieu symbolique, soit à l’Assemblée nationale ou à l’Ucad, pour effacer le fameux discours de Sarkozy qui résonne toujours dans les mémoires des africains. Une visite américaine qui n’a pas eu lieu sous le régime de Wade, ceci malgré un lobbying intense et chèrement payé à des cabinets de relations publiques américains. L’on se rappelle aussi de ce fameux sommet de Deauville au cours duquel, Me Wade avait tout tenté pour présenter son fils, Karim Wade, à Barack Obama, avec comme intermédiaire, l’ancien Président français Nicolas Sarkozy. Abdoulaye Wade quittera finalement le pouvoir, sans recevoir une visite d’Obama qu’il aura tant espérée et que des relations heurtées avec les américains, et plus particulièrement, avec l’ambassadrice de l’époque, Mme Bernicat, n’ont pas permise. Dans tous les cas, cette visite marque le retour aux premières loges de la diplomatie sénégalaise qui avait commencé à perdre des galons sur la scène internationale. Le discours de Hillary est fort bien attendu. 

mardi 31 juillet 2012

Oumy Gaye, miss Jongoma 2012:

Viviane surclasse Akon

Viviane surclasse Akon
La chanteuse sénégalaise Viviane Chidid continue de glaner des trophées internationaux; Elle vient d’être sacrée "Pan African Artist of the Year"(artiste panafricain de l'année)

Wayaayooy ", le dernier album de la sénégalaise Viviane Chidid, fait toujours tabac, surtout au niveau international. Après deux trophées remportés au "African music award", la reine du Djolof Band a encore fait honneur au Sénégal, samedi soir à Washington DC. L’interprète de Champion a été désignée "Best panafrican Artist 2012". C'était à l'occasion de la soirée de distinction des "Cameroon Entertainment Awards" ce weekend passé. vêtue d'un ensemble taille basse, ganila mauve, Vivi a posé magistralement, trophée à la main, au plaisir de ses fans sur facebook.

Lesquels ont toutes les raisons d’être fiers de leur idole.
D'autant que Viviane était en compétition avec le chanteur international Akon, l'incontournable P Square, le talentueux Fally Ipoupa. "Je suis contente d'avoir des fans aussi merveilleux. Ils ne cessent de me soutenir dans toutes mes entreprises et cela n'est pas donné à tout le monde. Je leur dis merci du fond du coeur", a confié la lauréate au site people-senegal.

"je ne m'y attendais pas, mais en même temps, cela ne me surprend pas, car j'ai bossé dur pour arriver à ce stade", a-t-elle ajouté. Quant à son nouveau producteur, Jerry Wonder, il a dit sa joie et promet le meilleur, informant qu'une très belle vidéo vient d’être faite à New York et dans laquelle l'artiste sénégalaise a croisé Busta Rhymes et Movado pour le tournage sur la chanson "Soldier girl". Ce titre sera bientôt sur les grandes chaines de télévision du monde, d'après la même source.

Le rôle de la France dans l’élection de Moustapha Niasse à la présidence de l’Assemblée nationale


Le rôle de la France dans l’élection de Moustapha Niasse à la présidence de l’Assemblée nationale
DAKARACTU.COM  Le bail de Moustapha Niasse au perchoir de l’Assemblée nationale est loin d’être un fait fortuit, anodin, lié à de simples accords préélectoraux entre Macky Sall et le chef de file de Benno Bokk Yaakaar. Il est le fruit d’une stratégie qui transcende Macky Sall lui-même, et qui a entraîné la remise à l’ordre brutale de Moustapha Cissé Lô et de ses prétentions. La gauche au pouvoir en France se méfie de Macky Sall, qui entretient avec la droite des rapports privilégiés, notamment avec Nicolas Sarkozy, dont il assisté à l’investiture avant d’aller lui rendre visite dès son accession à la magistrature suprême. Leurs liens datent de leurs passages respectifs  aux ministères français et sénégalais de l’Intérieur. La France de Hollande et de Aubry ne goûte pas tant que cela aux attaches libérales revendiquées de Macky Sall et a exprimé des réticences qu’Ousmane Tanor Dieng est allé dissiper et en arrondir quelques angles aigus. La France, en étant favorable à l’arrivée de Moustapha Niasse au perchoir, empruntait une voie médiane qui socialiserait le régime de Macky Sall. La logique post-électorale imposait que Niasse soit à la présidence de l’Assemblée Nationale et Tanor Dieng à la tête du Sénat. Cette architecture politique a rassuré Paris quant à une éventuelle dérive à la Wade après 2000, vis-à-vis de Paris et de ses intérêts stratégiques au Sénégal. En ami revendiqué de la France, Macky Sall n’a pas fait obstacle à ce schéma.

lundi 30 juillet 2012

POLITIQUE DE REFORMES DE L’ETAT Les administrateurs du Sénégal pour des ruptures nécessaires


L’amicale des administrateurs civils du Sénégal a organisé ce week-end, une journée de réflexion sur les politiques de reformes de l’Etat et les ruptures à adopter. Cette journée, qui devait être présidée par le Premier ministre Abdoul Mbaye, permettra de faire un état des lieux de l’organisation administrative et de poser les jalons d’une nouvelle gouvernance.


POLITIQUE DE REFORMES DE L’ETAT Les administrateurs du Sénégal pour des ruptures nécessaires

Cette journée de réflexion, organisée à un moment où le Sénégal s’engage dans une période décisive, en matière de gouvernance, a fait dire au Conseiller spécial du premier ministre Abdoul Mbaye, venu le représenter, que « notre pays était arrivé à un moment de son développement, où il est appelé à observer les ruptures impératives et salutaires ». 
Pour le Président de l’amicale, Ibrahima Guèye, cette journée permettra d’analyser les ruptures nécessaires et indispensables pour aller à une administration de développement, et permettre à notre pays de s’installer dans les pays émergents. Ainsi, le diagnostic de tout ce qui est incohérences et dysfonctionnements de l’administration, devait-il être, fait mais aussi, les incohérences dans les politiques de découpages administratifs, afin de proposer des orientations qui pourront permettre à l’Etat de mettre en œuvre un schéma cohérent et global de réforme de l’Etat. 
Selon toujours le Président, les dysfonctionnements dans l’administration sénégalaise restent nombreuses, avec une centralisation excessive de nos structures, une tendance à créer des agences, de manière débridée, et aussi, les découpages administratifs qui n’ont pas respecté un certain nombre de critères objectifs. Mais aussi, dans les procédures de nomination dans les postes de responsabilité qui gangrènent l’administration, par un népotisme et un clientélisme notoire qui, à terme, faussent le pilotage de nos structures. La mal gouvernance chronique fait que nos politiques de développement sont hypothéqués par une gestion gabégique de l’ensemble des ressources de l’Etat. 

Les Wade, la Françafrique, et un nouveau scandale industriel ( Documents )



La foudre s’est abattue deux fois pour Sébastien Couasnet. Tout d’abord en 2001, c’est l’amour, le « coup de cœur » entre le jeune ingénieur agronome et l’ex-Première dame du Sénégal, Viviane Wade. Près d’une décennie plus tard, c'est la haine et la gloutonnerie de Karim Wade contre l’administrateur de la fondation Wade. La foudre vengeresse de « Monsieur 15 % », comme le relève un câble américain de Wikileaks, s’est abattue sur ce grand gaillard : six mois de prison pour Sébastien Couasnet. Après une ascension dans l’ombre de sa « deuxième maman », le « fils adoptif » est chassé en coulisses par le « fils naturel ».


Voici donc comment un trentenaire charismatique s’est retrouvé à côtoyer, il y a encore trois mois, le clan tout-puissant au Sénégal, avant de connaître le centre de détention de Rebeuss, à Dakar, accusé, à tort, de détournement de fonds.
Après huit ans à codiriger l’institution « Éducation et Santé », Sébastien Couasnet avait pourtant fait de l’association vivotante, hochet caritatif de Viviane Wade, une fondation prospère, employant plusieurs centaines de paysans, et faisant vivre des milliers de familles. Grâce à lui, un procédé présenté comme miraculeux était développé contre la malnutrition : la spiruline, une micro-algue. « On avait commencé à quatre, puis on a compté 174 employés, des paysans qu’on avait sortis de la pauvreté, dit-il fièrement. On a multiplié par douze notre chiffre d’affaires en six ans. On était à la pointe sur la spiruline. La fondation faisait vivre 15 à 20 000 agriculteurs par an, ce qui représentait près de 340 000 personnes. Des gens venaient de partout pour visiter ce que nous faisions. On avait développé des partenariats avec des centres de recherches, etc. »
Mais « le bébé de Madame Wade » a été convoité par celui que tout le Sénégal surnommait encore il y a peu le « ministre de la terre et du ciel », en référence à son statut de « super-ministre » octroyé par son père, Abdoulaye Wade, qui a dirigé le pays jusqu’à la victoire, fin mars, de son ancien poulain, Macky Sall.
Dans l'affaire Couasnet, Mediapart révèle l’implication directe de Karim Wade, son rôle de chef d’orchestre dans la cabale menée contre le jeune Français. Pire : l’affaire n’aurait pu être qu’une énième chronique de la gabegie des années Wade ; elle prend une tournure françafricaine avec un ambassadeur de France, Nicolas Normand, toujours en poste à Dakar, ardent défenseur de Karim Wade alors que certains diplomates, des hommes d’affaires français, et des proches de Sébastien Couasnet, réfutaient sans relâche les accusations et la machination mises en place par Karim Wade et ses proches.

« Madame Wade, ma deuxième maman » 

Tout commence par une idylle. Lui est jeune, charismatique, et inventif. Elle, elle « nous ouvrait des portes, et nous offrait le pouvoir de faire des choses, de tenter des remèdes inédits, raconte-t-il, amer après une parenthèse enchantée de plusieurs années. On me disait de faire attention à elle, mais j’étais naïf ». Sébastien Couasnet se moque de la réputation de la famille au pouvoir, et fait son chemin, il va en brousse, et développe la spiruline. La simple association balbutiante devient, trois ans après son arrivée, une fondation de recherche et de développement. Un exploit.
« Le président Wade nous avait dit qu’il y avait urgence après la crise des criquets. » Aussitôt dit, aussitôt fait, et l’agronome a carte blanche. Très vite, une usine de biopesticides est montée. Une de biofertilisants suivra deux ans plus tard. La petite association devient rapidement une start-up à l’avenir prometteur et aux objectifs louables : sortir de la malnutrition des milliers de Sénégalais, grâce à une micro-algue aux vertus thérapeutiques, développée par des centaines de paysans Sénégalais, et leur reverser les bénéfices. Sur le papier et dans les faits, le projet séduit. Un cercle vertueux se met en place, en toute transparence. Une importante fondation suisse, Antenna, les soutient, et apporte 1,5 million d’euros. Objectif : développer le micro-crédit pour le bénéfice des paysans et de leurs familles.
Mais… « Les choses ont basculé à ce moment-là, reconnaît Denis Von Der Weid, président d'Antenna. Viviane Wade a été dépassée par l’ampleur du projet. » Sébastien Couasnet confirme : « On a commencé à parler en milliards (de francs CFA – ndlr) et ça leur est monté à la tête. » Dans le « leur » se cache notamment un homme : Karim Wade. Désigné grand manitou, terme pourtant largement survendu, de la politique présidentielle de Wade-père, il dispose néanmoins des attributions clés et rémunératrices d’un Sénégal en chantier : les infrastructures, l’énergie, l’aménagement du territoire, la coopération internationale, et l’aviation. Tout cela pour un seul homme. « Viviane Wade a commencé à vouloir la mainmise sur le projet, explique Denis Von Der Weid. Une mainmise qu’elle a opérée pour elle et son fils Karim. » La chute n’est alors plus très loin pour Sébastien Couasnet. Une question de semaines.

La descente aux enfers 

Dès la signature du chèque de la fondation suisse, le ton change. L’ancienne Première dame fait volte-face. « À partir de ce moment-là en octobre 2010, elle s’est mise à me répéter que j’étais mauvais gestionnaire alors que ma fonction d’administrateur de sa fondation s’était passée sans nuages pendant des années. » Selon Sébastien Couasnet, Viviane Wade se fait « manipulatrice », « infantilisante » ; puis le « harcèle » avec des demandes pressantes… Pour préparer sa mise à l’écart. « J’ai commencé à me dire que cette histoire allait mal finir », se souvient Sébastien Couasnet. Deux mois plus tard, le piège se referme un peu plus. « Au nouvel an 2011, elle m’annonce la nomination d’une gestionnaire : Mandy Moodley, en tant qu’auditrice interne qui aura les pouvoirs de paiements, en violation de toute déontologie ». Mandy Moodley est l’épouse de Victor Pouye, l’ancien directeur des infrastructures, sous tutelle d’un certain… Karim Wade. Le clan Wade prend donc sous sa coupe la fondation, provoquant également sa destruction et la suppression de centaines d’emplois.
Pour le jeune agronome, l’affaire s’emballe. Les rumeurs de son arrestation se multiplient, le harcèlement s’accentue. Une affaire de tous les jours, pour l’avoir à l’usure. Pendant plus d’un mois, Sébastien Couasnet doit se justifier sur la moindre facture. « Ils cherchaient n’importe quoi pour me mettre à l’écart, indique-t-il. Ils pensaient trouver une histoire de surfacturation à l’un de nos fournisseurs. Je voyais qu’elle n’avait plus confiance en moi. Et le vendredi 11 février 2011, je vais la voir au Palais (présidentiel) pour qu’elle me dise la vérité en face et pour que je parte ainsi dans de bonnes conditions. » En vain.
Le jeune homme prend les devants et annonce sa démission le mercredi suivant. « Mais elle refusera de décharger ma lettre. » Qu’importe la forme. Le lendemain, Viviane Wade organise la succession. « J’en avais les larmes aux yeux. Elle me fait alors la bise et me dit : “Profitez bien de votre famille”. » Sébastien Couasnet garde en mémoire la fin de la phrase : « “Mes amitiés à votre mère” Je m’en souviendrai toute ma vie. »
Quelques heures plus tard, il est arrêté alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui, menotté sous les yeux de sa mère, la vraie. Garde à vue, prison, Sébastien Couasnet se retrouve avec un dossier monté de toutes pièces : il est accusé du détournement de 500 000 euros.
La Françafrique en action : « Vous êtes sûrs qu’il n’a pas volé ? » 

L’ingénieur se retrouve dans le principal centre de détention de la capitale : Rebeuss. « À l’intérieur, j’ai découvert des hommes perdus, car sans relais, et ne disposant même pas d’un avocat. » Dehors, ses soutiens se comptent par dizaines. Les employés de la fondation le visitent régulièrement, et ses proches, dont des hommes d’affaires, remuent ciel et terre. Pendant des semaines, ils trouvent porte close auprès du premier des Français du Sénégal : l’ambassadeur Nicolas Normand, personnage très françafricain, qui a officié sous les latitudes du Congo-Brazzaville du bien installé Denis Sassou Nguesso, et à Bamako au temps où Amadou Toumani Touré, dit ATT, était encore au pouvoir.
Introduit par Claude Guéant, Nicolas Normand a reçu l’onction particulière des Wade, irrités par son prédécesseur, l’écrivain Jean-Christophe Rufin. Son successeur a su plus qu’arrondir les angles. Dans l’affaire Couasnet, le haut fonctionnaire s’est fait l’ardent défenseur de Karim Wade, qui, officiellement, n’apparaît pourtant pas dans l’organisation de la fondation. Pendant des semaines, Nicolas Normand ne veut ainsi rien entendre sur le cas d’un de ses ressortissants emprisonné.
« L’ambassadeur français ne voulait pas intervenir, et ce pendant des semaines, dénonce Pierre Michaux, homme d’affaire français et proche de Sébastien Couasnet. Il nous avait sorti lors d’une réunion : “Vous êtes sûrs qu’il n’a pas volé ?” » Nicolas Normand reprend les éléments de langage du clan Wade, alors qu’une note d’un diplomate français aurait démenti après enquête la version officielle, et lui aurait été présentée dès le début de l’affaire. « Mais de toutes les manières, le rôle de Normand était biaisé, relève Pierre Michaux, car il avait été choisi par les Wade pour venir au Sénégal ».
De fait, Nicolas Normand n’a pas choisi la retenue. Loin s’en faut. L'ambassadeur se propose donc tout simplement d’être le nègre de Sébastien Couasnet, et de rédiger une belle lettre d’excuses que le diplomate français n'aurait plus qu'à faire suivre à Madame Wade au nom de Sébastien Couasnet, depuis plus de trois mois en prison. Courrier que voici :

Exclusif ! Les Wade, la Françafrique, et un nouveau scandale industriel  ( Documents )

La 24ème édition Du « Bamba’s Day » Célébrée à New York



La 24 éme édition commémorant « The Cheikh Ahmadou Bamba’s Day » ou les Journées culturelles dédiées au fondateur du mouridisme  Cheikh  Ahmadou Bamba Mbacké aux Etats Unies, a vécu. Le Parrain de cette année  était feu Serigne Souhibou Mbacké. Le Bamba’s Day est dirigé chaque année par le fils aîné du défunt Serigne Mourtada Mbacké, Serigne Mame Mor Mbacké, président du Holding Al Azhar.

C’est grâce aux contacts entre feu Serigne Cheikh Mourtada Mbacké, David Dinkins et Charles Rangel que ces journées culturelles ont été instituées. L’édition de 2012  a célébré le  24ème anniversaire de ces journées. Le gouvernement du Sénégal était représenté par monsieur Mor Ngom  ministre des infrastructures et des transports. On a noté aussi  la présence de Mamadou Lamine Diallo ambassadeur du Sénégal aux Nations Unies, de Sidy Niang Consul général du Sénégal et de l’ambassadeur du Sénégal à Washington son excellence Cheikh Niang.
Ces  journées de commémoration de l’œuvre de Cheikh Ahmadou Bamba  aux Etats Unis  constituent un grand moment pour la communauté mouride. La délégation de Serigne Mame Mor Mbacké a attéri d’abord à Los Angeles où l’on a célébré le Bamba’s Day le 23 juillet avant de se rendre à Washington et de terminer par la grande marche de New York le samedi 28 juillet suivi de la grande conférence aux Nations Unies.
Une cérémonie  animée par serigne Khadim Sylla en présence du ministre Mor Ngom qui a raté la marche de la matinée. Parmi les invités, il y avait  l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire à New York, celui du Mali ainsi que celui du Benin. Cette année, la marche qui a débuté à l’avenue 116 jusqu’à la 125 a  regroupé prés de 3000 personnes. Réunir autant de personnes aux Etats- Unis, n’est pas chose facile si l’on sait  qu’ au pays de l’Oncle Sam, les gens sont très occupés, ils courent tout le temps.
« The Cheikh Ahmadou Bamba Days » ou les Journées Ahmadou Bamba ont commencé à New York City depuis 1988 grâce aux contacts entre Cheikh Mourtada et David Dinkins et Charles Rangel. Dinkins était Maire New York et Charles Rangel, le député représentant de New York . Grâce à ces deux là, les Mourides ont pu obtenir les autorisations pour célébrer « The Ahmadou Bamba Days ».
A New York, ils ont signé une convention avec une Déclaration du Maire qui disait que « ce jour est déclaré journée Cheikh Ahmadou Bamba ». Ce qui permet aux Mourides de faire leur marche, organiser des manifestations culturelles. C’est devenu un évènement très important pour toute la diaspora sénégalaise .

300 millions de franc CFA pour le combat Eumeu Sène / Balla Gaye 2


Dakarinfos.comLes amateurs l'attendent avec impatience, les lutteurs en ont besoin pour clarifier leur position et statut dans le monde complexe et surprenant de la lutte, la grande affiche qui devrait faire de Eumeu Sène ou de Balla Gaye 2 le véritable nouveau Roi des Arènes risque de coûter la peau des fesses... Un combat qui reste d'être très couteux pour le promoteur qui aura la lourde tâche de l'engager. En tout cas, pour le promoteur de lutte Gaston Mbengue « entre les frais d'organisation et les cachets des lutteurs, il faut aller chercher entre 250 à 300 millions » a t-il déclaré.
Pour Gaston qui a déjà entamé les démarches pour avoir l'accord des deux camps, il reste convaincu que les deux lutteurs ont une réelle valeur marchande « mais ils ne doivent ni exagérer, ni tirer sur la longueur parce que les fonds qui peuvent être rassemblés pour leur confrontation pourraient être rapidement utilisés à d'autres fins. » 

YÉKINI / BALLA GAYE 2, LE 22 AVRIL LE PLUS BEAU COMBAT DE LA SAISON 2011-2012


Dakarinfos.comLa saison de lutte a pris fin avec les derniers combats du CLIF de Luc Nicolaï à Mbour le 18 juillet. Déjà les amateurs ont en tête les événements qui ont marqué cette saison largement dominée par le phénomène de la violence. Mais au compte des souvenirs inoubliables, il y a le combat Balla Gaye 2 / Yékini qui a marqué tous les esprits comme étant le plus beau combat de la défunte saison.
Il n’y a pas eu que de faits négatifs au cours de la défunte saison. Il y a aussi eut de très beaux combats qui ont ravi les amateurs. Au compte de ces combats, il y a l’affiche Balla Gaye 2 / Yékini du 22 avril 2012 au stade Demba Diop. 

C’était également l’affiche la plus élogieuse de la saison au vu de l’enjeu. Yékini le Roi incontesté resté 15 ans au sommet de la lutte sans la moindre défaite, est tombé sur un Balla Gaye 2 dont le rêve était de rencontrer Yékini et le battre.La violence qui avait émaillé les différentes signatures de contrats avait augmenté l’intérêt que les uns et les autres avaient pour l’affiche. Certains amateurs sont venus de la sous-région pour suivre le combat. D’autres depuis l’Europe, les USA et même en Afrique, étaient unanimes que le combat serait historique. Il le fut.Yékini, tombé dans le piège de Balla Gaye 2, avait lutté dans un registre qui n’était pas le sien.

Habituellement défensif, il était devenu offensif et en avait perdu sa sérénité au point de commettre de grosses erreurs qui lui ont fait perdre le combat. Il faut aussi louer l’ingéniosité de Balla Gaye 2 qui a su aspirer son adversaire, lui donnant un uppercut, l’envoyant au sol au premier contact, évita un de ses directs et un Caxaabal, pour le retourner et le déposer sur son dos. Le tout en 2 minutes. Qui l’eut cru ?C’était l’hystérie, car, nombreux sont ceux qui croyaient que Yékini était imbattable. Ce combat restera à jamais dans les annales de la lutte sénégalaise pour des siècles et des siècles.

Amadou Toumani Touré parle enfin du putsch du 21 au 22 mars 2012: «J’ai été trahi par Abdine mais sauvé par un jeune officier béret vert…»


Amadou Toumani Touré  parle enfin du putsch du 21 au 22 mars 2012: «J’ai été trahi par Abdine mais sauvé par un jeune officier béret vert…»
Le coup d’Etat ayant entraîné le tohu-bohu auquel nous assistons depuis continue à faire parler de lui. Et les versions ne manquent pas. Retranché dans sa résidence d’un hectare environ à Dakar au Sénégal, soucieux et inquiet de l’avenir de sa patrie, le Général Amadou Toumani Touré semble sortir de sa réserve. Suivez notre regard plutôt ! 
De retour de Dakar il y a quelques jours, un intime et confident d’ATT nous a reçus chez lui. Au cours de notre entretien, il a fait de nombreuses révélations sur le coup d’Etat, les coups d’Etat qui étaient prévus, les élections, entre autres sujets qui ont été à la »UNE » aussi bien de la presse que dans les lieux de causerie au lendemain du coup et du départ d’ATT à Dakar. 

« Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », a dit le chimiste Lavoisier. C’est dire que tout événement heureux ou malheureux sera sujet à des commentaires. Le départ précipité d’ATT de Koulouba ou du pouvoir, à quelques milliers de minutes de la fin de son mandat ne peut échapper à la règle. Ainsi, depuis le putsch les commentaires ne manquent pas jusqu’aux plus fallacieux. Pire, ceux qui étaient les rats de maison du couple présidentiel semblent les plus virulents. Compréhensifs mais sans honnêteté seraient ceux qui pendant 9 ans et poussières voulaient tel ou tel poste ou privilège et qu’ils ne l’ont pas eu pour des raisons bien précises. Indignes seraient ceux qui pendant son règne ont occupé des hauts rangs, bénéficié de son soutien de quelque nature que ce soit et qui l’accusent aujourd’hui de tous les noms d’oiseaux. Sachons tout de même que « La roue de l’histoire tourne et que rien ne peut l’arrêter », et puis que la Bible dit ceci : « Tu connaîtras la vérité et la vérité te rendra libre ». 

ABDINE TRAHIT ATT, BAGAYOKO LE SAUVE 

En quelques mots ATT aurait expliqué le putsch. Alors, notre interlocuteur ayant requis l’anonymat rend compte de ce qu’ATT lui aurait dit, et qu’il nous a rapporté. Att parle : 

« Lorsque Gassama et Poudiougou sont venus de Kati me rendre compte de ce qui s’est passé, j’ai dit que j’ai compris. Immédiatement, après leur départ, j’ai fait appel à Abdine Guindo. Je lui ai dit d’aller voir la situation à Kati pour me rendre compte. Je ne l’ai plus vu mais pire, son téléphone ne répondait plus jusqu’à mon départ de Koulouba. Et comment ? Je tiens ici à rendre hommage à certains jeunes de la SE qui m’avaient averti depuis, mais…. Alors, lorsque les éléments de Kati sont arrivés, tous les BRDM de Koulouba étaient sabotés. Ils ont tiré. De tir en tir, je comprenais qu’il y avait la complicité car à chaque fois que je me déplaçais les tirs me suivaient. Finalement, le jeune officier Bagayoko m’a dit mon Général, il y a eu une trahison, cherchons un moyen pour vous sauver la vie. C’est de là que j’ai appelé Jimmy Carter (NDLR : ancien Président des USA et ami d’ATT) afin qu’il puisse dire à son ambassadeur de me secourir. Et puis je me suis défais de mon grand boubou et me suis déguisé pour aller vers la mosquée. Arriva alors l’ambulance blindée de l’Ambassade américaine et j’y suis rentré pour le camp para puis l’Ambassade américaine. 

Cependant, j’ai échappé bel car le 23 mars il était prévu de m’arrêter ou de me tuer. Et ce, par Abdine et Poudiougou au profit de l’un des candidats à la présidentielle qui allait diriger la transition. Il est dit qu’il était mon candidat. Pourtant, il suffit seulement d’observer et d’analyser pour se rendre compte qu’il ne pouvait pas être mon candidat. Le minimum, il n’est en bon terme avec aucun membre de mon cabinet ni encore de ma famille. Alors, soyons sérieux ! » 

L’INSTIGATEUR DU COUP EST DIARRA DE L’EMIA 

Selon notre interlocuteur, ATT lui aurait dit que c’est l’officier mis en cause dans l’affaire de l’EMIA Diarra qui serait le vrai acteur, instigateur et planificateur du putsch. Et qu’il l’aurait préparé de main de maître. Toujours selon lui, ce Diarra serait l’intime ami et confident du Capitaine Amadou Haya Sanogo lequel a l’estime de plusieurs jeunes officiers et sous officiers parce qu’il n’a peur de rien et puis il maîtrise les BRDM. D’où son choix de diriger les débats. ATT affirme qu’il souhaite beaucoup de compréhensions aux jeunes afin que notre pays soit libre de tous les maux dont il fait aujourd’hui l’objet. ATT reconnaît qu’il s’est entouré de certains cadres véreux et sans vergogne aussi bien parmi les porteurs d’uniformes que des civils qui ne pensaient qu’à leurs seuls intérêts. Enfin Att d’ajouter ceci : « Lorsque j’ai remis ma démission, c’était de gaieté de cœur car je ne trahirai jamais le Mali et je souhaite tous les jours que Dieu bénisse mon pays. Sinon, dire qu’Abdine m’a sauvé est faux, il voulait depuis m’éliminer. C’est pourquoi à un moment je l’avais mis au camp para en l’affaiblissant, mais Dieu ne dort pas… » 

Abordant plusieurs sujets, Att aurait souhaité que les Maliens s’entendent pour le salut du peuple. Il aurait parlé individuellement des candidats qui étaient en lice pour sa succession, l’Assemblée nationale, des partis politiques et leurs leaders. Sans oublier les nombreux coups qui étaient en gestation et les tentatives de sabotage de son régime. 

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