vendredi 3 août 2012

juillet 2012 20:13 Les islamistes ont tué dimanche par lapidation un couple non marié à Aguelhok, dans le nord du Mali, le premier cas à ce jour connu dans cette région depuis son occupation totale par les groupes armés islamistes il y quatre mois, selon deux élus de la région. «J’étais présent sur les lieux. Les islamistes ont amené au centre d’Aguelhok le couple non marié», l’homme et la femme ont été «mis dans deux trous et les islamistes les ont lapidés jusqu’à ce que mort s’en suive», a déclaré un élu dont les propos ont été confirmés par un autre. Tous deux ont souhaité garder l’anonymat. Le premier élu a affirmé que «dès les premiers coups, la femme s’est évanouie», alors que l’homme «a crié une fois» avant de se taire. La scène s’est déroulée devant une foule d’environ 200 personnes, selon lui. Le second élu a précisé «que l’homme et la femme ont deux enfants, dont le dernier a six mois» et qu’ils vivaient en dehors d’Aguelhok «dans la brousse». «Ils ont été ramenés en ville par les islamistes qui leur ont jeté des pierres jusqu’à la mort», a-t-il dit, ajoutant : «Des gens sont sortis pour voir ça, il y a eu des témoins.» Sanda Abou Mohamed, un des porte-parole du groupe salafiste, a répondu dimanche à l’Associated Press que le couple a été exécuté conformément à la loi de la charia. La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar ed-Dine (défenseurs de l’islam), allié d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) dont plusieurs membres se trouvent aussi dans la région.


mali
Les islamistes ont tué dimanche par lapidation un couple non marié à Aguelhok, dans le nord du Mali, le premier cas à ce jour connu dans cette région depuis son occupation totale par les groupes armés islamistes il y quatre mois, selon deux élus de la région.
«J’étais présent sur les lieux. Les islamistes ont amené au centre d’Aguelhok le couple non marié», l’homme et la femme ont été «mis dans deux trous et les islamistes les ont lapidés jusqu’à ce que mort s’en suive», a déclaré un élu dont les propos ont été confirmés par un autre. Tous deux ont souhaité garder l’anonymat.
Le premier élu a affirmé que «dès les premiers coups, la femme s’est évanouie», alors que l’homme «a crié une fois» avant de se taire. La scène s’est déroulée devant une foule d’environ 200 personnes, selon lui.
Le second élu a précisé «que l’homme et la femme ont deux enfants, dont le dernier a six mois» et qu’ils vivaient en dehors d’Aguelhok «dans la brousse».
«Ils ont été ramenés en ville par les islamistes qui leur ont jeté des pierres jusqu’à la mort», a-t-il dit, ajoutant : «Des gens sont sortis pour voir ça, il y a eu des témoins.»
Sanda Abou Mohamed, un des porte-parole du groupe salafiste, a répondu dimanche à l’Associated Press que le couple a été exécuté conformément à la loi de la charia.
La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar ed-Dine (défenseurs de l’islam), allié d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) dont plusieurs membres se trouvent aussi dans la région.

Il coud un cadenas sur le sexe de son épouse


cadenas-chastete
Un homme a été arrêté après avoir obligé son épouse à porter une ceinture de chasteté, qu’il avait lui-même cousue sur le sexe de sa femme, et ce pendant plus de cinq ans. Le cauchemar de cette pauvre dame, qui réside à Sanyogitaganj dans la banlieue d’Indore en Inde, a commencé il y a cinq ans de cela, rapporte le Daily Bhaskar. Ce jour-là, Sohanlal Chouhan, son mari âgé de 45 ans, avait complètement pété les plombs après lui avoir fait une crise de jalousie. De peur que sa femme ne le trompe, il avait décidé d’utiliser les grands moyens.
“Il m’a obligé à boire et lorsque j’étais inconsciente, il m’a cousu un cadenas sur le sexe”, explique, Radha, la victime. “J’ai souffert pendant un an après qu’il ait cousu le cadenas”, confie-t-elle en ajoutant que son mari avait pris l’habitude d’emporter les clés du cadenas avec lui tous les jours au travail. En outre, Sohanlal, devenu incontrôlable, a commencé à enfermer son épouse dans une pièce de leur maison. Il ne la libérait que très peu d’heures par jour, témoignent leurs cinq enfants qui déplorent d’avoir été privés de leur maman pendant cinq longues années.
C’est ce lundi 16 juillet que le cauchemar de Radha a pris fin. Après avoir entendu son mari faire des avances sexuelles à leur fillette de 12 ans, Radha, désespérée, a décidé de mettre fin à ses jours en ingurgitant de la mort aux rats. Heureusement, elle a été emmenée à temps à l’hôpital et elle a pu être sauvée. C’est en lui faisant un lavage d’estomac que le personnel hospitalier a découvert l’horreur. Les responsables de l’hôpital ont immédiatement prévenu la police et Sohanlal Chouhan a été arrêté pour maltraitance et séquestration. Interrogée, Radha a tout avoué aux policiers. Elle a décidé de porter plainte et a été jusqu’à supplier les agents de ne pas libérer son mari. Celui-ci a été examiné par un psy qui a décélé une tendance paranoïaque

Visites de Laurent Fabius et de Hillary Clinton à Dakar Professeurs et étudiants réagissent


Visites de Laurent Fabius et de Hillary Clinton à Dakar Professeurs et étudiants réagissent
Vingt-quatre heures après la visite de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton et une semaine après celle de Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, des enseignants et étudiants apprécient diversement ces deux passages. 
Les deux hôtes ont tous rencontré le président sénégalais Macky Sall. Mme Clinton a prononcé un discours à l’Université Cheikh Anta Diop, qui contraste pour certains avec celui de Nicolas Sarkozy au même endroit en juillet 2007, tandis que Fabius a salué ‘’l’exemple’’ du mouvement ‘’Y’en a marre’’. Pour Ousmane Khouma, enseignant-chercheur en Droit public et Science politique à l’Université Cheikh Anta Diop, c’est avant tout ‘’la maturité démocratique’’ du peuple sénégalais qui a été saluée par Hilary Clinton. ‘’Elle a voulu montrer qu’elle accompagnerait la population sénégalaise sur le chemin de la bonne gouvernance’’, explique-t-il, estimant que ça ne peut être que bénéfique pour le Sénégal. ‘’Le pays doit diversifier ses partenariats, surtout quand la première puissance mondiale en fait partie’’. Selon Khouma, les Etats-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Sénégal pour sécuriser la zone qui entoure ce pays : ‘’Le Sénégal ne peut être un îlot de stabilité dans un océan de désordre. Il a du poids au sein de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) et l’Union africaine et les Américains en sont conscients’’.Quoi qu’il en soit, souligne l’enseignant, les visites françaises et américaines sont l’expression d’une stratégie diplomatique. ‘’Chacun cherche à protéger son pré carré’’. Louis Mendy, professeur de littérature américaine, a le sentiment que la France et les Etats-Unis veulent être les premiers à recevoir ‘’les bonnes grâces du Sénégal’’. Et, comme Ousmane Khouma, il pense que les deux nations veulent utiliser le Sénégal pour des besoins géopolitiques : ‘’C’est important de mettre des garde-fous, prendre les devants, on ne sait jamais ce qui peut arriver’’. Côté étudiant, c’est plus ou moins le même son de cloche. Pour un doctorant en droit public, sous-couvert d’anonymat, les visites de Laurent Fabius et d’Hillary Clinton à Dakar permettent de fixer ‘’le cadre au sein duquel ils vont travailler’’. Selon lui, le Sénégal est ‘’fidèle à son histoire’’ et tient à garder de bonnes relations avec la France. Et c’est réciproque : ‘’La France fera tout pour ne pas perdre son partenaire’’. Quant aux Etats-Unis, le Sénégal ‘’ne peut se permettre de refuser une demande de leur part étant donné leur position sur la scène internationale’’. L’étudiant pense également que les deux pays sont en concurrence, chacun étant ‘’à la recherche du leadership’’. 
Aps 

Ce jeune homme aurait une médaille de diamant au JO

Qui est ce juif américain impliqué dans le transfert de plusieurs milliards détournés au Sénégal ?


Qui est ce juif américain impliqué dans le transfert de plusieurs milliards détournés au Sénégal ?
  Un homme d’affaires américain, juif orthodoxe et ami de Rahm Emmanuel, sherpa de Barack Obama devenu maire de Chicago, a été au cœur de bien des transactions entre des pontes du régime Wade et le milieu d’affaires américain. Il a tenté d’aplanir à un moment donné les rapports difficiles entre Abdoulaye Wade et la Maison Blanche, après s’être vu confier l’acquisition de la Maison du Sénégal à New-York, d’une valeur de 18 milliards. Sous ce couvert, il a, selon les services secrets américains, transféré beaucoup d’argent aux Etats-Unis appartenant à des officiels sénégalais. Ayant les agents des services secrets aux basques, il aurait décidé de transiger et de balancer des noms de pontes de l’ancien régime libéral, en contrepartie d’une absolution par la justice américaine. 

les autres pages d'actualité

les visiteur en live