jeudi 29 mars 2012

Les élèves qui quitteront Polytechnique rembourseront leur scolarité



Publié par MediaEtudiant.fr, dans Etablissement, le 29/03/2012
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Les élèves qui quitteront Polytechnique rembourseront leur scolarité
Le directeur de l’Ecole Polytechnique a confié à l’AFP que les étudiants diplômés de l’établissement devront rembourser leurs frais de scolarité s’ils n’exercent pas pendant au moins 10 ans au service de l’Etat. Il confirme ainsi une information parue dans Le Monde.

Les pantouflards rembourseront Polytechnique

"Pantouflard", c'est l'appellation qu'on donne aux hauts fonctionnaires qui passent dans le privée. Legénéral Xavier Michel, directeur de l'Ecole Polytechnique, a confirmé que les étudiants de Polytechniques qui ne resteront pas 10 ans au service de l’Etat après avoir quitté l’établissement devront rembourser leurs frais de scolarité. Ce système de remboursement des pantouflards est dû au Contrat d’objectifs et de performances 2012-2016 que l’Ecole Polytechnique a passé avec le ministère de la Défense.
Les élèves qui n’effectueront pas ces 10 ans au service de l’Etat devront ainsi rembourser la coquette somme de 45 000 euros. En effet, pendant leurs 4 ans et demi de formation, les élèves de l’Ecole Polytechnique sont payés 870 euros par mois, ce qui justifie un remboursement aussi élevé.

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29/03 | 15:38 | Les Echos

Google se lance dans la location de films

Avec son nouveau service Google Play, la firme de Mountain View propose depuis ce jeudi aux internautes français de louer des films, à regarder depuis un ordinateur ou un smartphone.

Google se lance dans la location de films
Google lance son système de location de films en France. Il s'agit d'un des volets de sa nouvelle boutique de contenu numérique, Play. Depuis ce matin, plusieurs centaines de long-métrages américains et français, tel « Les Aventures de Tintin : le secret de la Licorne », « Drive », « Twilight 4 », « L'Exercice de l'Etat » ou « Je l'aimais » sont accessibles. Un paiement entre 3 et 4 euros donne accès au visionnage d'un film pendant 30 jours, sur Google Play directement et bientôt sur Youtube.
Le blog de Google en France annonce de multiples partenariats avec des studios français comme Cinéma(s) à la Demande, EuropaCorp, M6 Video / SND, Under The Milky Way, UniversCiné, Wild Side ou Disney Europe, NBC Universal et Sony Pictures Home Entertainment Europe.

De la concurrence pour Apple

Après les applications et les jeux pour appareils mobiles, maintenant les films, des contenus musicaux et des livres vont suivre, à une date encore inconnue. Aux Etats-Unis, Play a déjà fusionné les services Google Films, Google Music, Google eBookstore et Android Market.
Avec ce système de location de film, Google se place frontalement contre Apple et son rentable combo Itunes Store / Appstore. L'entreprise de Mountain View veut surtout améliorer son image de marque, en regroupant sous une bannière unique ses boutiques de contenus. Et il y avait urgence à agir. Ce qui tenait lieu de magasin en ligne Google, l'Android Market ,disparu au profit de Play, était loin d'afficher les mêmes résultats que la vitrine numérique d'Apple : ouvert depuis octobre 2008, l'offre de Google propose environ 450.000 applications mobiles et a comptabilisé 10 milliards de téléchargements. Sur la même période (lancement en juillet 2008), Apple a mis à disposition 550.000 applications, qui ont été téléchargées 25 milliards de fois. Alors que deux fois plus de smartphones Android que d'iPhone ont été vendus dans le monde.
En se positionnant également sur la mise à disposition de contenu, l'entreprise dirigée par Eric Schmidt compte bien capter et surtout allonger le temps de connexion des internautes sur l'ensemble de ses sites, pour mieux rentabiliser les espaces publicitaires. Dans la même logique, le moteur de recherche devrait d'ici à quelques mois répondre lui-même à des questions simples sans rediriger l'utilisateur vers des sites extérieurs.
La vidéo promotion de Google Play Films :
FLORIAN DÈBES

Google lance un portail dédié à la présidentielle



Par Adrienne Sigel, publié le 29/03/2012 à 17:39
Google lance un portail dédié à la présidentielle
Visuellement, "Google élections" se présente comme le portail Google Actualités.
Google France

Le moteur de recherche met à son tour en place un dispositif spécial pour l'élection présidentielle. Lancé mercredi, "Google élections" réunit les principaux outils de la marque sur une plateforme dédiée à l'échéance du mois de mai. 

Après de nombreux sites d'informations, au tour de Google de lancer une plateforme exclusivement consacrée à la présidentielle. A 25 jours du premier tour, cette version française de "Google élections", une plateforme déjà mise en place à l'occasion des élections aux Etats-Unis, au Sénégalainsi qu'en Egypte, vise à compiler quelques uns des principaux outils Google, tels que Google Actualités, Youtube ou encore le réseau social Google+, au service de l'actualité de la campagne. 
Filtrage des recherches par candidats
Visuellement, "Google élections" se présente comme le portail Google Actualités. Niveau contenus, rien de révolutionnaire non plus. Un flux d'articles liés à la campagne défile en continu. En revanche, la plateforme, voulue comme une "boîte à outils" pour consulter plus facilement les articles et autres contenus liés à la présidentielle, intègre des fonctions de recherche avancée.  
Ainsi, l'internaute peut filtrer ses recherches par candidat et par thème (économie, éducation, emploi...). Des liens directs vers les pages Google+ des dix candidats sont placés sur la page d'accueil du portail. 
Contenus vidéo
Lancée en partenariat avec l'AFP, mais également avec RFI et France 24, cette plateforme met en avant, dans la sélection éditoriale, les vidéos et sons de ces deux médias. Mais aussi la chaîne Youtube Elections 2012, lancée il y a neuf mois en partenariat avec l'AFP, Twitter et le Centre de formation des journalistes (CFJ).  
La chaîne Youtube Elections 2012.
La chaîne Youtube Elections 2012.
Youtube
Evolutive, la plateforme sera enrichie de nouvelles fonctions dans les prochaines semaines, et notamment d'une carte Google Maps -autre outil Google- pour l'affichage des résultats commune par commune au soir du premier tour.  
Enfin, le site ne sera pas immédiatement fermé à l'issue du second tour, le 6 mai prochain, mais restera actif jusqu'à la fin des élections législatives, à la mi-juin.  

Bayrou de plus en plus cajolé par la droite



Par Philippe Lesaffre, publié le 29/03/2012 à 16:13, mis à jour à 16:16
Bayrou de plus en plus cajolé par la droite
François Bayrou, courtisé à droite...
AFP PHOTO / BERTRAND LANGLOIS

La majorité présidentielle ne cesse de faire des appels du pied au candidat du Modem, qui stagne dans les sondages, en vue du second tour. François Bayrou va-t-il, pour autant, se décider? Rien n'est moins sûr... 

François Bayrou perd des points dans les sondages. Le troisième homme de 2007 ne parvient plus à dépasser, pour l'instant, les 13% d'intentions de vote. Mais, paradoxe, il reste populaire dans les enquêtes d'opinions. Encore mieux: il gagnerait à tous les coups, face à Hollande ou Sarkozy, au second tour de la présidentielle.  
Comme ce scénario semble désormais improbable, ses adversaires commencent à lui lancer des fleurs. Pas François Hollande qui a plutôt l'oeil rivé sur sa gauche et sur Jean-Luc Mélenchon, qui monte, qui monte. Mais ses opposants de la majorité qui tentent de le draguer, lui et ses électeurs, en vue du second tour.  
Comme Valérie Pécresse, qui a laissé entendre que l'élu du Béarn pourrait devenir le successeur de François Fillon en cas de réélection de Nicolas Sarkozy. A-t-elle suivi les conseils d'Edouard Balladur? "C'est une erreur de laisser entendre que Juppé peut devenir Premier ministre. Il n'apporte pas une voix à Sarkozy, aurait expliqué Balladur, selon Le Canard enchaîné. Entre les deux tours, il faut clairement laisser entendre aux électeurs centristes que Bayrou ira à Matignon. C'est notre seule chance de gagner."  
"C'est la même équation qu'en 2007 mais la différence cette année, c'est que François Bayrou fera nettement moins bien au premier tour, renchérit un ministre en exercice. Et donc, il n'aura pas d'autre choix que d'appeler à voter pour Nicolas Sarkozy." Car, souffle François Fillon, ce mercredi sur France Inter, le candidat MoDem "représente un courant de pensée proche de celui de la majorité" et le centre et l'UMP ne doivent "rien commettre d'irréparable" pour pouvoir discuter après le premier tour. 
Sarkozy ne s'inquiète pas
En juillet dernier, le député béarnais avait confié, à quelques journalistes, qu'il était prêt à prendre ses responsabilités pour la présidentielle. Et donc, à donner une consigne de vote? Rien n'est moins sûr. Depuis, il a reculé sur cette question. Cela risquerait de le décrédibiliser. Car s'il appelle, à titre personnel, par exemple, à voter pour le candidat de droite, la gauche raillerait son positionnement de centre-droit. Et vice-versa.  
Et comment l'auteur d'Abus de pouvoir en 2009, pamphlet contre l'actuel hôte de l'Elysée, qui ne cesse, par ailleurs, de critiquer le programme de François Hollande, peut-il décider entre ces deux favoris de l'élection?  
"Il ne se trompera pas, il n'est pas socialiste", veut croire Alain Juppé, pourtant critique sur sa décision de poursuivre la campagne malgré la tuerie de Toulouse. L'un des membres de son équipe de campagne, Jean Arthuis, abonde en ce sens, dans un entretien accordé à Mediapart: "Il y a des positions à gauche qui sont difficilement compatibles, mais il faut qu'on en discute."  

François Baroin justifie le bonus de Maurice Lévy



Le Point.fr - Publié le 29/03/2012 à 17:21

Le ministre du Budget estime que la patron de Publicis est un "immense capitaine d'industrie".

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Le ministre de l'Économie, François Baroin, a justifié jeudi le bonus de 16 millions d'euros que doit toucher le patron de Publicis, Maurice Lévy, "un immense capitaine d'industrie", même si "ça tombe mal" en pleine campagne pour l'élection présidentielle. "Ça tombe mal, parce que l'opinion est chauffée à blanc et que nous sommes en pleine présidentielle", a reconnu le ministre en réponse à une question, sur BFM Business, sur l'opportunité de cette "rémunération différée" dénoncée par plusieurs candidats à l'Élysée.
"Cela étant, Maurice Lévy, ce n'est pas un trader de 25 ans qui s'en est mis plein les poches en spéculant sur la faillite des autres pour faire sa richesse à 30 ans, c'est un immense capitaine d'industrie qui a développé un groupe français privé et qui l'a développé au niveau mondial", a plaidé François Baroin. "Chacun en pense ce qu'il veut, mais je ne voudrais pas que la facilité liée à la présidentielle crée l'amalgame entre un grand chef d'entreprise et ce qui s'est passé au cours de l'affaire des subprimes", a-t-il encore dit.
La porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse, avait jugé mercredi "disproportionné" le bonus perçu par Maurice Lévy. Le même jour, le président-candidat Nicolas Sarkozy avait assuré "combattre" les "rémunérations choquantes" et "exorbitantes", "dans la finance ou ailleurs", tout en affirmant que ce bonus avait été voté par des actionnaires "qui ont le coeur à gauche". Le bonus du patron de Publicis avait été dénoncé dès mardi par le candidat socialiste, François Hollande, qui y voit la justification de sa mesure phare visant à taxer à 75 % la part des revenus qui dépasse un million d'euros. "Ce ne sont pas ces patrons-là qui vont nous faire la leçon sur la compétitivité de l'économie française", avait-il lancé.

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