lundi 19 mars 2012

Actualité médicale


 
Tags: Incontinence urinaire -  trouble sexuel - 
Incontinence urinaire : 3 millions de Français en souffrance - Actualité médicale
Incontinence urinaire : 3 millions de Français en souffrance

Aujourd’hui s’ouvre, pour la dixième année consécutive, la semaine de l’incontinence, à l’initiative de l’Association française d’urologie. A cette occasion, les spécialistes ont souhaité mettre l’accent sur un problème particulièrement tabou : les répercussions sur la sexualité des trois millions de personnes souffrant, en France, de cette

Perte accidentelle ou involontaire d'urine par l’urètre, l'incontinence urinaire touche un peu plus les femmes que les hommes. Si les causes sont multifactorielles, cette affection peut être un véritable handicap social pour les 3 millions de personnes qui en souffrent. D’après les spécialistes, ce chiffre pourrait être une sous-estimation en raison des tabous qui entourent l’incontinence. Bien que souvent passé sous silence, les experts estiment qu’il faut aborder le problème de front et prendre en compte les différents aspects de la maladie. C’est pour cette raison qu' à l'occasion de cette dixième édition de la semaine de l’incontinence, l’Association française d’urologie a souhaité aborder l’importance de la prise en charge des troubles sexuels engendrés par cette maladie. 

D’après une étude parue, il y a peu de temps, dans l’European Urological Review, entre 25 et 50 % des femmes touchées par cette affection se plaindraient des répercussions que cela a sur leur vie sexuelle. Pour 60 % d'entre elles, la peur d’avoir des fuites pendant les rapports serait le principal facteur limitant. 25 % des hommes atteints d’incontinence estiment que la qualité de leur vie sexuelle est clairement affectée par la maladie , qui entraîne souvent .
Face à ce constat, les spécialistes estiment que l’incontinence n’a pas à rester dans l’ombre, d’autant plus qu’il existe des traitements pour la soigner. Il est important d’informer le grand public sur ce type de maladie pour permettre à ceux qui en souffrent d’aborder frontalement le problème et ainsi, de se soigner.

Allergies : Le calendrier pollinique à venir



LES ALLERGIES


Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA) a prévu une fin de mois de mars “ terrible pour les allergiques ”. En cause? “ L'arrivée massive ” des pollens de bouleau avec l'arrivée du printemps. Pour vous permettre de vous préparer à temps, France Soir dresse un calendrier des grandes périodes polliniques en France.
Actuellement, plus de 20% de la population française (1 habitant sur 5 !)  souffre d´allergie respiratoire
Actuellement, plus de 20% de la population française (1 habitant sur 5 !) souffre d´allergie respiratoire SIPA/SALOM-GOMIS SEBASTIEN

3 grandes saisons polliniques

En premier lieu, tout commence avec la saison des arbres entre en janvier et mai. Les personnes allergiques commencent dès lors à souffrir du pollen déclenché par le cyprès, le thuya, l'hêtre, le chêne ou encore le noisetier. Par ailleurs, les pollens d'arbres qui déclenchent le plus d'allergie sont le cyprès, le platane et le bouleau, « arbre le plus allergisant » pour Michel Thibaudon, directeur du RNSA. Ensuite, la saison pollinique des graminées prend le relai, entre mai et juillet. Enfin, entre juillet et octobre, la saison des herbacées prend place avec l'ambroisie, l'armoise ou encore le plantain.

Le calendrier des pollens allergisants par région

Dans la région Ouest, le risque de pollen pour le cyprès et le frêne reste moyen entre mars et avril. Le mois prochain et jusqu'en mai, les risques de pollen du bouleau, du chêne et du platane restent élevés. A compter de mai et jusqu'au mois d'août, les nez vont s'enrhumer au contact des graminées et des urticacées. Pour la région Ile-de-France, le frêne, le bouleau et le platane conservent un risque moyen dès ce mois-ci jusqu'au mois de mai. Suivront ensuite les graminées et les urticacées entre mai et août. Pour la région Nord, c'est mois-ci et le mois prochain que les alertes au pollen du frêne sont élevés. Les allergies au bouleau, chêne, platane, graminées et urticacées commencent le mois prochain, et ce, jusqu'en septembre. Pour la région Centre, c'est ce mois-ci que commencent les allergies à l'aulne, cyprès, frêne, noisetier, bouleau et chêne. Les graminées et les urticacées prendront la relève de mai à août. Enfin, la région Est connaîtra des allergies ce mois-ci de frêne et du cyprès. Le mois prochain, ce sera au tour du bouleau, du chêne et du platane.

Recommandations
La Société américaine d'allergologie rappelle les précautions à prendre en cas d'allergie saisonnière. Il est ainsi déconseillé d'aérer son domicile ou son bureau dans la journée, car le pollen peut s'incruster dans les moquettes et tissus d'ameublement. Mieux vaut attendre le soir pour ouvrir les fenêtres. Pour la même raison, il faut éviter de conduire sa voiture les vitres ouvertes. Les experts déconseillent également l'automédication et invitent à consulter un médecin allergologue qui pourra détecter l'origine exacte de la réaction allergique et le traitement approprié. En clair, il ne faut pas attendre les premiers symptômes mais anticiper.

Fair-play financier: Pas de «passe-droits» pour le PSG selon Michel Platini



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Créé le 19/03/2012 à 12h14 -- Mis à jour le 19/03/2012 à 12h50

FOOTBALL - Le président de l'UEFA n'a pas l'intention de changer de programme à la tête de l'instance européenne...

Michel Platini, président de l'UEFA, se dit prêt dans un entretien exclusif à l'AFP à prendre des mesures impopulaires, comme l'exclusion des compétitions européennes, afin d'amener les clubs à respecter l'équilibre financier, «sinon le foot va périr». Dans le cadre du fair-play financier - ne pas dépenser plus qu'on ne gagne - les premières sanctions pourraient tomber à partir de 2014-15. Tous les clubs seront soumis au même régime, y compris le Paris SG, détenu par de richissimes qatariotes.
Vous aviez tiré un signal d'alarme en août sur les finances des clubs...
Et les pertes ont augmenté! Il n'y a pas un manque d'argent: les clubs n'ont jamais dépensé autant. Mais c'est une mauvaise gestion, il va falloir mettre des règles de gestion. Avec le fair-play financier, on a anticipé. On va continuer, on ne reviendra pas en arrière. Il y a des gouvernements qui doivent serrer la ceinture à leur pays et qui ne sont pas populaires. On ne sera peut-être pas populaires, mais on est obligés, sinon le foot va périr".
Comment un club comme le Paris SG, qui dépense plus qu'il ne gagne mais dispose d'investisseurs aux ressources immenses, sera-t-il traité?
Ce club sera sous le contrôle du fair-play financier, comme tous les autres. Les dirigeants connaissent les règles. Jean-Claude Blanc (directeur général du PSG), avec qui on avait discuté au début quand il était dans la direction de la Juventus, est un peu à l'initiative du fair-play financier. Ce n'est pas parce que je suis Français, ami du PSG et des Qataris (il a voté pour le Mondial-2022 au Qatar) qu'il y aura des passe-droits. Je pense qu'on ne connaît pas encore leur budget, ils viendront le présenter. Il faut regarder, s'adapter, ce n'est pas simple, chaque club a sa propre histoire, ses propres faits. Mais il faut rester fidèle à une philosophie entérinée par l'UEFA et on la respectera. Et les dirigeants du PSG la respecteront aussi, sinon ils ne joueront pas dans nos compétitions ou ils auront d'autres problèmes, mais ça je ne sais pas du tout. Ce qui est marrant c'est tous les mécènes, les propriétaires, les Berlusconi (AC Milan), Moratti (Inter Milan), nous demandent de faire dès règles pour ne plus mettre autant d'argent dans leurs clubs et les Qataris voudraient eux nous demander de ne pas faire des règles, pour, eux, pouvoir mettre de l'argent. Mais, bon, le PSG fait partie des clubs qui ont accepté d'être testés actuellement sous nos critères.
A quels types de sanctions s'exposent les contrevenants?
Il y a un éventail de sanctions, qui est à l'étude, ça va de l'amende à l'exclusion des compétitions, mais ça peut être aussi des sanctions en terme de recrutement, sur la possibilité d'aligner des joueurs. La finalité n'est pas de les tuer. Il s'agit de mettre des règles. Ce qui touche le PSG, ce n'est pas la même chose -à part Manchester City (détenu par un investisseur des Emirats arabes unis)- que ce qui touche les autres clubs. Mais ça ne se fera pas à la tête du client et il n'y aura pas de passe-droits. Et on ne reviendra pas en arrière.
Vous vous attendez à ce que certains punis saisissent la justice?

Lyon, un mois sans Cris



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Vincent Duchesne(Sport24.com) Publié  Réagir

Crédits photo : Panoramic

Victime d'une blessure au mollet gauche samedi à Saint-Etienne, le défenseur lyonnais Cris, sera écarté des terrains durant au moins quatre semaines.

Lyon affrontera le PSG mercredi en quarts de finale de la Coupe de France sans Cris. Pire, l'OL devra composer sans son «Policier» durant les quatre prochaines semaines, soit environ 6 matches, dont 4 de Ligue 1. Le défenseur brésilien était sorti sur blessure samedi à Saint-Etienne à un quart d'heure de la fin du derby (0-1) en raison d'une douleur au mollet gauche. Les examens passés ce lundi n'ont malheureusement pas été source de bonnes nouvelles.
Cris souffre en effet d'une lésion au niveau de l'aponévrose du mollet. Une blessure synonyme d'un mois d'indisponibilité. «C'est un gros coup dur pour l'équipe, a confié Rémi Garde en conférence de presse ce lundi. Car il était dans une bonne dynamique avec un enchainement de bonnes performances et pour l'expérience qu'il apporte dans ce groupe». Une absence d'autant plus préjudiciable que Lyon a entamé un joli redressement en Ligue 1 après l'élimination en 8es de finale de la Ligue des Champions face à l'APOEL Nicosie et chasse à nouveau, Lille, 3e à 4 longueurs.
Lovren de retour contre Paris
Rémi Garde a également indiqué que John Mensah et Yoann Gourcuff sont toujours en phase de reprise. Au rayon bonne nouvelle, Dejan Lovren est à nouveau à la disposition du coach lyonnais. Le défenseur croate, expulsé contre Lille (2-1), a en effet purgé son match de suspension. En l'absence de Cris, il devrait être aligné en défense centrale aux côtés du jeune Bakary Koné à Paris. Pour un match que Garde qualifie de «challenge difficile», le PSG étant invaincu à domicile depuis la première journée de Ligue 1. «Mais on va le relever…».

PSG: Jérémy Ménez, l'indispensable qui ne fait pas l'unanimité



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Créé le 19/03/2012 à 13h10 -- Mis à jour le 19/03/2012 à 13h10

FOOTBALL - Le milieu offensif parisien, auteur d'une saison «satisfaisante», ne plaît pas à tout le monde...

Chez Jérémy Ménez, ce n’est pas le style capillaire qui fait le plus débat. L’attaquant du PSG et sa crête dorée culminent à 4 buts et 10 passes décisives en championnat cette saison. Mais l’ancien romain traîne derrière lui comme un malentendu. Nonchalant? Egoïste? Râleur? Avérés ou non, ces adjectifs ont provoqué les sifflets du Parc en début de saison. «Les gens sont restés sur l’image de moi quand j’avais 18 ans. Si c’était un autre joueur, ils jugeraient autrement. Moi ça ne me pose pas de problème», tente d’expliquer le détonateur parisien.
«Il faut que les gens changent d’impression sur quelqu’un qui a évolué depuis 5 ou 6 ans» 
L’ancien romain souffre d’une maladie assez répandue en football: le complexe du surdoué. A l’image d’Hatem Ben Arfa, on pardonnera toujours plus difficilement à un joueur avec autant de facilités techniques. «J’ai beaucoup évolué. J’ai changé. Il faut que les gens changent d’impression sur quelqu’un qui a évolué depuis 5 ou 6 ans. C’est dommage de rester bloqué», enchaîne Jérémy Ménez. Il peut se rassurer: Carlo Ancelotti ne fait pas partie du camp des persifleurs. «Jérémy a de fantastiques qualités, est capable de placer des accélérations incroyables, comme en fin de match à Dijon. Il doit maintenant être plus constant sur le terrain, mais je suis content de ses performances», lâche l’italien. 
«Mon jeu est fait de prises de risques, donc forcément, il y a un peu de déchet, des pertes de balles» 
A entendre Jérémy Ménez, l’inconstance  fait pourtant partie de son style. «Mon jeu est fait de prises de risques, donc forcément, il y a un peu de déchet, des pertes de balles», explique-t-il. Ce qui ne l’empêche pas de faire une saison jusque-là «satisfaisante». «Je peux encore faire beaucoup mieux. Pour une première saison, avec une nouvelle équipe, je pense que c’est bien. J’ai encore 10 matchs pour le démontrer. Et il y a encore l’année prochaine». Prochaine étape: récolter moins de cartons jaunes. Il en a déjà pris 10 cette saison, dont le dernier à Caen le week-end dernier. Un nouvel avertissement contre Lyon, mercredi, ou Bordeaux, dimanche, et il serait suspendu pour PSG-OM. Pour le plus grand plaisir des olympiens.

Lisandro: «Je vois Lyon sur le podium»



(EQ)
Avant d'affronter le Paris Saint-Germain ce mercredi (20h50) en quarts de finale de la Coupe de France, Lisandro Lopez est revenu, ce lundi en conférence de presse, sur la victoire lyonnaise à Saint-Etienne (0-1, 28e j. de L1) et a évoqué les ambitions de l'OL pour cette fin de saison. (Photo Presse-Sports)
«Lisandro, quel est votre sentiment après cette nouvelle victoire dans le derby, samedi ?
Nous avons passé un très bon week-end après avoir gagné le derby, ce qui a toujours une saveur particulière mais j'ai déjà la tête tournée vers le match contre Paris en quart de finale de la Coupe de France. 

Comment avez-vous réussi à vous rétablir depuis deux matches, après la défaite à Nicosie en Ligue des champions ?
Je n'ai pas la réponse exacte. Nous avons vécu une période difficile. Ces victoires en Championnat contre Lille (2-1, 27e j.) et à Saint-Etienne (1-0, 28e j.) sont importantes. Nous sommes plus solides sur le terrain, défendons mieux, ensemble. Nous montrons une plus grande solidarité.

La lutte pour le podium n'est-elle pas plus importante que la Coupe de France, notamment pour le calendrier ?
Je ne pense pas. C'est quand même un quart de finale de Coupe de France et il reste ensuite deux matches après Paris pour la gagner. C'est important pour le club aujourd'hui de disputer une finale de Coupe de France également. Il faudra jouer à fond mercredi car cette épreuve le mérite. Nous avons les moyens d'atteindre cet objectif.

«Pourquoi pas 5-5...»

Ce match sera-t-il aussi ouvert qu'en Championnat (4-4, 25e j.) ou au contraire plus fermé?
Je pense que ce sera une partie ouverte avec des occasions de part et d'autres. Ce sont deux équipes qui cherchent toujours à jouer et qui se créent des opportunités. L'OL aime jouer ce type de match, affronter ce type d'équipes. Alors 4-4, peut-être ou pourquoi pas 5-5.

Comment expliquez-vous l'irrégularité de l'OL ?
Je n'ai pas d'explication. Cela m'énerve aussi. J'aimerais plus de régularité et avoir un autre classement. Ces hauts et ces bas sont difficiles à expliquer et nous mettent en position délicate pour atteindre les objectifs du début de saison. J'aimerais plus de constance tout comme l'encadrement et mes coéquipiers.

Comment jugez-vous vos performances actuelles ?
Rater les deux occasions que j'ai eues samedi à Saint-Etienne, à dix minutes de la fin d'un derby, est un peu impardonnable. Je suis exigeant envers moi-même. Il me manque d'être plus efficace actuellement. Je ne suis pas mal mais je peux être bien mieux. Je sais quand ça va bien et quand je suis moins bon.

«Mon intention est d'être encore à l'OL la saison prochaine»

Il y a un mois, vous aviez prédit les difficultés à venir de l'OL. Comment voyez-vous la suite pour Lyon?
J'ai grande confiance pour la fin de saison. J'espère que nous pourrons être plus réguliers et solidaires comme samedi à Saint-Etienne. Il le faudra pour atteindre nos objectifs, gagner la Coupe de la Ligue, atteindre le podium et la finale de la Coupe de France, la gagner. Il reste trente points à disputer en Ligue 1. C'est beaucoup et je vois Lyon sur le podium mais je ne sais pas dans quelle position, 2e, 3e, 1er...

Pensez-vous être encore à Lyon la saison prochaine ?
On ne sait pas ce qui se passera d'ici la fin de cette saison mais je suis bien à Lyon et normalement, sans évènement exceptionnel, mon intention est d'être encore à l'OL.» (AFP)

Federer peut-il redevenir n°1 mondial ?



Par Victor Dhollande-Monnier
Publié le 19 mars 2012 à 13h06Mis à jour le 19 mars 2012 à 13h25
     
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Roger Federer a remporté son quatrième titre à Indian Wells. © REUTERS
TENNIS - Après son succès à Indian Wells, le Suisse est bien l'homme de ce début d'année.
L'homme aux 16 titres du Grand Chelem n'est pas fini. Dimanche soir dans le désert californien, Roger Federer a prouvé au monde du tennis qu'il faudrait encore compter sur lui. En battant John Isner en finale du Masters 1.000 d'Indian Wells (7-6, 6-3), le Suisse s'est adjugé le 73e titre de sa carrière. Inarrêtable en ce début d'année, peut-il revenir au sommet de la hiérarchie mondiale ?
Un début d'année incroyable. Dimanche, "Roger" a gagné son troisième trophée consécutif de la saison, après Rotterdam, Dubaï. Sur 41 matches disputés depuis le mois de janvier, Federer s'est imposé à… 39 reprises. Avec deux défaites seulement (contre Nadal en demi-finale à l'Open d'Australie et contre Isner en Coupe Davis), c'est bien lui le "boss" en 2012. Mais cette belle attitude n'est pas nouvelle selon lui : "je pense en fait que je joue extrêmement bien depuis Roland-Garros mais les gens pensent parfois que parce que je n'ai pas gagné le tournoi, je n'y ai pas bien joué". Une sacrée réussite après une année 2011 compliquée. C'était la première fois depuis huit ans qu'il n'avait pas réussi à gagner un seul titre du Grand Chelem.
Son meilleur tennis ? Un service de feu durant tout le tournoi (7 aces, 94% de points gagnés sur première balle en finale), un revers claqué comme à ses débuts, des passings en pagaille et quasiment pas de déchet dans son jeu. Et comme à chaque fois où Federer remporte un nouveau tournoi, une question revient inlassablement : joue-t-il actuellement son meilleur tennis ? "Je ne sais pas", a répondu le "maître" après la finale, toujours très réaliste sur ses capacités. "Je pense que je joue extrêmement bien mais est-ce que c'est le meilleur tennis de ma vie ? Je ne le saurai jamais. Personne ne le saura jamais".
Toujours au top à 30 ans. Quand un sportif professionnel dépasse la barre fatidique de la trentaine, les spécialistes le voient déjà comme un préretraité. Alors "Rogeur", on est fini à 30 ans ? "Certains ne comprennent pas qu'on puisse encore jouer au tennis à 30 ans", a-t-il répondu en conférence de presse. "Je trouve ça choquant parce qu'à cet âge-là, tu es normalement assez encore assez jeune pour jouer aussi bien qu'avant. C'est ce que je prouve depuis que j'ai eu 30 ans en août car c'est à peu près à ce moment-là que ma série a commencé".
La concurrence faiblit. S'il a perdu contre Rafael Nadal en demi-finale de l'Open d'Australie en quatre manches (6-7, 6-2, 7-6, 6-4), il s'est ensuite bien rattrapé contre son meilleur ennemi en lui infligeant une véritable leçon de tennis samedi en demi-finale (6-3, 6-4). Mais surtout, l'Espagnol n'a pas encore remporté le moindre tournoi en 2012. De son côté, Novak Djokovic s'est adjugé l'Open d'A

Pour se protéger, The Pirate Bay passe aux drones



The Pirate Bay ne baisse pas pavillon. L’accès à ses serveurs passera par les airs avec des Raspberry installés sur des drones.

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Comme ils l’avaient dit, les responsables de Pirate Bay se préparent à un raid des autorités suédoises qui recherchent leurs serveurs. A ce sujet, les responsables du site disaient il y a quelques jours que « personne ne sait vraiment où ils sont, mais nous avons fait en sorte de rester en dehors des Etats-Unis de l’Arrogance et d’autres pays dont les gouvernements n’aiment pas la liberté d’expression. »

Mini serveurs sur PC Raspberry

En fait, l’idée serait de les mettre sur des drones pour ne pas subir le sort de Megaupload dont les services ont été fermés par le FBI. Sur leur blog, dont l’accès est devenu aléatoire depuis ce matin, les responsables de The Pirate Bay dévoilent que des mini serveurs sur PC Raspberry Pi voleront sur des aéronefs à quelques kilomètres d’altitude. Rappelons que ces ordinateurs britanniques sont de la taille d’une carte de crédit et que leur coût ne dépasse pas 25 euros. Guidés par GPS, ils communiqueront entre eux grâce à un système capable de communiquer jusqu’à une distance de 50 km.

Un acte de guerre

Bien sur, les données ne seront pas hébergées dans les airs. En fait, ces drônes seront des proxy qui dirigeront le trafic vers les data centers installés dans un endroits des plus secrets. Sur son blog, The Pirate Bay prévient qu’ils fermeront le système en cas d’attaque, et présentent cette stratégie comme un « véritable acte de guerre ».

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