Mis à jour le 31.03.12 à 16h32
Les Etats-Unis et les pays du Golfe ont demandé ce samedi à Kofi Annan, l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe sur la Syrie, d'établir un calendrier de mise en oeuvre par le président Bachar al Assad de son plan de sortie de crise.
«Etant donnée l'urgence de la mission de l'émissaire, (les ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis et du Golfe) invitent instamment l'émissaire à déterminer un calendrier des prochaines mesures en cas de poursuite des violences», peut-on lire dans un communiqué diffusé à l'issue d'une réunion entreHillary Clinton et ses homologues du Golfe à Ryad.
Cessez-le-feu immédiat
Le communiqué appelle également «les pays ayant des relations directes avec le régime syrien à rejoindre la communauté internationale dans ses efforts pour résoudre la crise syrienne».
Le plan de sortie de crise de l'émissaire, approuvé par l'ONU et entériné par la Ligue arabe, que Damas a accepté dans son principe, prévoit notamment un cessez-le-feu immédiat, un accès à l'aide humanitaire pour les populations civiles et l'ouverture d'un dialogue entre le pouvoir et l'opposition.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a affirmé vendredi que le soulèvement entamé il y a un an en Syrie était désormais terminé, mais que les forces gouvernementales resteraient dans les villes pour y «maintenir l'ordre».
«Etant donnée l'urgence de la mission de l'émissaire, (les ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis et du Golfe) invitent instamment l'émissaire à déterminer un calendrier des prochaines mesures en cas de poursuite des violences», peut-on lire dans un communiqué diffusé à l'issue d'une réunion entreHillary Clinton et ses homologues du Golfe à Ryad.
Cessez-le-feu immédiat
Le communiqué appelle également «les pays ayant des relations directes avec le régime syrien à rejoindre la communauté internationale dans ses efforts pour résoudre la crise syrienne».
Le plan de sortie de crise de l'émissaire, approuvé par l'ONU et entériné par la Ligue arabe, que Damas a accepté dans son principe, prévoit notamment un cessez-le-feu immédiat, un accès à l'aide humanitaire pour les populations civiles et l'ouverture d'un dialogue entre le pouvoir et l'opposition.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a affirmé vendredi que le soulèvement entamé il y a un an en Syrie était désormais terminé, mais que les forces gouvernementales resteraient dans les villes pour y «maintenir l'ordre».
